Salut Jaques, mes nouvelles propositions du matin.
Je n’ai pas encore demandé à quelques amis pilotes de lignes leurs lumières car je joue le jeu du quiz, mais je crois que je ne vais plus tenir bien longtemps…
- Déjà je dirais forcément qu’on majore la distance d’atterrissage.
- On peut essayer de viser ailleurs que là où la majeure partie de la gomme se trouve sur la piste, car c’est là que le risque d’aquaplaning se fera le plus sentir. (on vise avant de préférence)
- Les limitations de contrôle latérale sont probablement à majorer aussi
- Sur certains avions avant le touché on s’assure que les roues du train principal tournent à la même vitesse .
- Y’a aussi une procédure spéciale pour les réacteurs avec la possibilité d’ingestion de gerbes d’eau pour les réacteurs (c’est le cas pour Concorde), est-ce la piste à suivre ?
- Certains modes automatiques sont-ils à proscrire ?
Et si je ne suis toujours pas sur la bonne piste, comme indice peux-tu me dire si c’est lié à la position de une ou plusieurs commandes de vol ???
Ou directement sur la manière de « positionner » les roues, pour minimiser les effets aquaplaning ?
François