J’ai toujours pensé que d’autres allaient finir avant moi, j’en suis totalement certain maintenant.
Les valises « diplomatiques » étant ouvertes avec certaines personnes ayant travaillé sur Concorde ou des collectionneurs, j’ai désormais les instruments parfois entre les mains pour :
- Un, les admirer
- Deux, les étudier (ce que je préfère)
- Trois, faire des photos super détaillées qui me seront très utiles.
Ci-dessous une photo d’un instrument unique en son genre pour un liner, puisqu’une pointe avant avec une température de 127°C au maximum : c’est propre à Concorde.
François
